Ces douze dernières années, la présence mémorielle russe s'est considérablement accrue dans notre région et notre ville. Le petit parc Saint-Remi a même failli héberger un deuxième monument russe.
Dans le cadre du réaménagement du Parc Saint-Remi, de nombreux arbres ont été abattus. Était-ce toujours nécessaire? Deux habitantes du quartier pensent que non.